ORIENTATION DU SITE
ESSÉNIEN DE QUMRAN, lien surprenant avec le pentagone régulier
L’étude des
prophéties et l’interprétation mathématique de la Bible est au centre des
travaux intertestamentaires, et en particulier au cœur de ceux des Esséniens.
Là encore, cela n’est même pas caché mais au vu et au su de tous, dès lors
qu’on accepte de le voir. Ainsi par exemple dès qu’on observe l’orientation
très particulière du site de Qumran, mise en relation avec d’autres
propriétés mathématiques et avec les nombres 3, 5 et 12 : |
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On remarque en effet que le site de Qumran est orienté suivant
un angle de 72° par rapport à l’axe Est-Ouest. 72° très exactement, ce qui
n’est pas anodin : quelle que soit l’unité dans laquelle il est exprimé,
cet angle très précis et très particulier renvoie en effet instantanément au
pentagone régulier comme on peut le voir ci-dessous, et à des notions qui
sont aussi par exemple au cœur de la science et de la mystique des
Pythagoriciens. Là encore, on observe que ces préoccupations semblent être très
partagées par les peuples de la Méditerranée d’une façon beaucoup plus large
et beaucoup plus ancienne qu’on ne le pense habituellement. Elles renvoient
aux intuitions, aux révélations qu’importe comment on les appelle, les plus
primordiales et les plus universelles. |
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Qumran, mais plus généralement tout le monde de la
Bible, semble recéler de nombreuses autres allusions symboliques à travers la
valeur gématrique des mots les plus importants. La gématrie, cette démarche de
lecture mystique de l’Ancien mais aussi du Nouveau Testament, établit notamment
un lien entre « le pain », « le vin », et les noms et les
symboles du Messie. Ainsi par exemple :
- AHBH (l’amour) = AḤD (un)
= 1+8+4 = 13.
- YHWH (Yahweh) = ADNY (Adonaï)
= DBR (le Verbe) = YYW (le vin) =
GPW (la vigne) = 26 = 2x13.
- BN YHWH (le fils de Dieu) = RWH
QDS (l’esprit saint) = RWH SDQ (l’esprit de justice : l’équivalent de l’esprit
saint chez les Esséniens) = LḤM (le pain) = 78
= 6x13.
Mais de telles autres équivalences sont si nombreuses
qu’elles occupent plusieurs pages du livre cité ci-dessous. C’est aussi le cas à travers le fameux « carré SATOR », qui fut l’un des signes de reconnaissance des
premiers chrétiens, et qui était totalement incompris jusqu’ici :
Il est cependant expliqué dans ce même ouvrage :