LES MATHÉMATIQUES DANS LA GRANDE PYRAMIDE, et les curieuses coïncidences reliant également les sites de Qumran et de Teotihuacan

 

 

Mathématiques et pyramide


Les propriétés de la Grande Pyramide, appelée aussi Pyramide de Kheops, sur le plateau de Guizeh, ont longtemps fait gloser. Des études très nombreuses existent à ce sujet, remarquant notamment l’intervention du nombre d’or. On a également discuté des angles formés par ses « conduits d’aération », peut-être orientés vers des étoiles ou des constellations remarquables. Cependant on n’avait pas encore noté les propriétés mathématiques qui peuvent être à l’origine de ces valeurs angulaires. Un texte étonnant à ce propos :

 

Mathématiques et pyramide

 

Attention le contenu de cette page et les extraits cités sont protégés par les lois relatives au droit d’auteur et ne peuvent pas être reproduites sans autorisation. La suite du texte est accessible ci-dessous :

 

 

Dans ce livre il est question de nombreux autres détails troublants semblant inscrire dans un grand ensemble cohérent des coïncidences géographiques, des ressemblances entre des mythes, et des propriétés mathématiques.

Ainsi de même les remarques, inédites elles aussi, sur l’orientation de grands sites anciens,

et qui sont expliquées en partie par des arguments mathématiques. Voici un nouvel extrait du même texte à ce propos:

 

Une autre remarque qui n’avait jamais été faite jusqu’ici : l’orientation du site de Teotihuacan est… identique à celle de Qumran, à 1 degré près. Exactement de même pour ces deux sites, au contraire de nombreux édifices plus anciens, aucune orientation astronomique satisfaisante n’avait été trouvée. Cela a donc tendance à conforter l’idée d’une orientation basée une propriété mathématique. Ci-dessous : à gauche le site de Qumran près de la Mer Morte, et à droite le site de Teotihuacan… au Mexique.

 

Mathématiques et pyramide

 

Nous voyons ici quelque chose d’extrêmement troublant et, comme cela avait été noté dans le livre I de cet ouvrage, au moins 5 arguments fragilisent l’idée d’une simple coïncidence : 1) En effet il ne s’agit pas seulement de deux bâtiments quelconques orientés de la même façon du fait du hasard tels que le seraient par exemple un stade et une bibliothèque, mais il s’agit de deux sites religieux et spirituels. 2) Puisque les deux sites ne se trouvent pas à la même latitude, leur orientation identique peut difficilement relever de considérations astronomiques, ce qui confirme l’hypothèse mathématique et rend encore moins probable l’intervention du seul hasard. 3) De plus, il existe de nombreuses propriétés mathématiques, et même si l’orientation de ces sites repose indéniablement sur l’une d’elles, cela n’explique pas pourquoi ces deux peuples ont décidé d’illustrer… exactement la même [elle est décrite dans le même livre]. 4) Mieux encore : les deux sites, aussi éloignés soient-ils, ont été fondés… quasiment au même moment, entre 200 et 100 avant notre ère. Et pour tous deux leur construction est auréolée du même mystère : malgré la découverte des Manuscrits de la Mer Morte, les spécialistes savent encore peu de choses sur les habitants de Qumran et il n’est même pas certain que ceux qui l’ont édifié et habité soient réellement les « esséniens » tels qu’on les présente ; quant à la cité si exceptionnelle de Teotihuacan, on ne sait pas avec certitude quel peuple l’a fondée. 5) De surcroît enfin, nous avions évoqué la cité précolombienne lors d’une évocation du monde spirituel concordant avec… certains éléments des visions des prophètes de la Bible et des écrits intertestamentaires.

 

Ces éléments établissent des liens étonnants et insoupçonnés entre les lieux des différentes apparitions mariales,

 l’orientation du monastère de Qumran, ce qui n’avait pas été vu jusque-là,

la géométrie de la Grande Pyramide avec des considérations inédites,

ou encore la symbolique des nombres dans la Bible.