Astrlogie,

religion et spiritualité

 

 

L’astrologie connaît un regain d’intérêt, notamment auprès des jeunes générations. Cette page va montrer qu’il s’agit de ne pas la confondre avec une religion, les autorités des grands courants spirituels la voyant d’ailleurs d’un très mauvais œil ; on en donnera la raison. Mais on va constater également que l’astrologie a tout pour ouvrir à une certaine conscience d’un ordre dans l’univers, d’une relation harmonieuse avec notre environnement, de forces qui nous entourent et qui nous accompagnent... Une démarche qui témoigne sans aucun doute de la recherche d’une plus grande spiritualité…

 

 

 Astrologie, religion et spiritualité : les origines très méconnues de l’astrologie

 

 

Tout commence en Chaldée, au Moyen-Orient. Du moins c’est ce qu’on peut lire partout. Et il est vrai que l’ancienne Mésopotamie était particulièrement réputée dans l’observation du ciel, utilisant le zodiaque que l’on connaît encore de nos jours. Mais on sent bien que beaucoup de choses nous échappent : on trouve parfois quelques explications au choix des images représentant les signes mais pourquoi cette organisation apparemment confuse de figures parfois humaines, parfois animales, parfois hybrides ? Pourquoi ont-elles été utilisées bien au-delà des frontières de la Mésopotamie ? Pourquoi peuvent-elles si parfaitement être associées aux diverses régions des rivages de la Méditerranée comme on peut le constater dans l’ouvrage cité plus loin, ainsi qu’à des mythes antiques datant de bien avant l’époque d’Alexandre, bien avant donc le moment où l’on prétend d’ordinaire que le zodiaque s’est répandu ? Comment expliquer que, dans ces mêmes régions de l’Europe de l’Ouest et du pourtour méditerranéen, des populations ayant édifié les grands observatoires astronomiques tels que Stonehenge, mais bien d’autres encore y compris en Espagne, à Malte etc, n’auraient laissé aucune trace de leurs connaissances ? Et que des populations telles que celles vivant en Judée ou en Égypte n’aient pas semblé s’être beaucoup intéressées à l’astrologie, alors que des éléments astrologiques semblent bien transparaître dans des textes prophétiques par exemple, qui revêtent donc une grande importance à leurs yeux ? On sent que bien des choses ne vont pas. Et elles peuvent toutes s’expliquer au moyen d’une autre thèse développée sur cette autre page (cliquez ici) et dans l’ouvrage (totalement gratuit et librement téléchargeable) qui la complète : en effet de nombreux arguments laissent à penser que les peuples anciens en Europe du Sud, en Afrique du Nord, les occupants des îles de la Méditerranée, les navigateurs qui la parcouraient, ceux-là mêmes qui édifiaient des constructions mégalithiques sur toutes les rives de ces régions et jusqu’en Judée et dans tout le Proche-Orient, connaissaient les signes du zodiaque ou même en étaient à l’origine. Ils sont peut-être en fait les représentants d’une époque, ou d’une civilisation, dont il reste les traces dans le mythe de « l’Atlantide » et qui pourrait même éclairer ce qu'il se cache derrière ce nom. Pour en savoir plus sur ces sujets, voir notamment cette page déjà citée sur les origines méditerranéennes méconnues de l’astrologie et celle-ci sur les liens entre l’astronomie des peuples de la Méditerranée, les constructions mégalithiques et le mythe de l’Atlantide.

 

 

Tout cela n’est pas sans importance. Car repousser l’invention de l’astrologie à une civilisation orientale et disparue dans les profondeurs de l’histoire permet aussi, pour certains, d’en diminuer la valeur… alors qu’en réalité l’astrologie est fortement liée à nos régions et aux fondations de notre civilisation. Il apparaît en effet qu’elle a n'a pas premièrement baigné la Mésopotamie mais le pourtour de toute la Méditerannée très anciennement, tout le Proche-Orient, la création de plusieurs alphabets et même l’écriture de la Bible. La page déjà citée explique ces origines méconnues, mais d’autres pages de ce site montrent les rapports nombreux entre les constellations et des symboles universels ayant influencé bien davantage qu’une ou deux civilisations ce qui n’est pas le moins troublant.

 

 

 Astrologie, religion et spiritualité : les critiques des religions

 

 

Comme on l’a dit ci-dessus, il est bien commode de repousser les origines de l’astrologie à un monde ancien et lointain, et d'ainsi en amoindrir l’importance et les vertus. Or il faut replacer dans leur contexte les quelques mots des Textes Saints rejetant l’astrologie : celui de la forte opposition des Juifs de l’époque de l’écriture de la Bible aux cultes anciens, polythéistes, parfois sanglants, qui leur faisaient horreur et qui étaient ceux de leurs ennemis. On pense en particulier à Babylone ou aux rites antiques de la Mésopotamie, le lieu terrible où les habitants de la Judée ont été déportés pendant des années et où les prêtres-astrologues, sur leur ziggourat, avaient presque tout pouvoir sur un peuple soumis. Ces prêtres paraissaient même être en quelque sorte au-dessus des chefs et souverains de ces pays tant ils avaient la main sur finalement presque toutes les décisions : semer, récolter, construire ou déclarer la guerre… Il en était à peu près de même en Amérique du Sud, où les conquérants européens ont découvert des prêtres régissant tout : les sacrifices parfois humains, l’édification de constructions monumentales, la science des calendriers… Ou encore à Rome, où les chrétiens ont été martyrisés et où, de l’empereur au moindre citoyen, l’on guettait chaque signe, chaque augure, chaque auspice, aussi bien que dans les entrailles des animaux que dans le vol des oiseaux, et où ceux qui savaient les interpréter possédaient évidemment un pouvoir démesuré sur la vie et le destin de toute la population.

Les critiques des religions issues de la Bible se comprennent donc bien mieux dans ce contexte. Elles prônent le libre arbitre, ce qui est presque l’opposé du système mis en place par ces anciennes religions ; le judaïsme est même fondé sur le refus de l’esclavage ou de la servitude vécus en Égypte puis en Mésopotamie ; le christianisme reprend cette idée en s’opposant à l’Empire Romain et, au-delà, à toute servitude volontaire à ce qui fait notre monde : c'est le refus de la recherche d’honneurs ou de biens matériels, et finalement de tout ce qu’espéraient acquérir les païens au moyen de leurs sacrifices aux anciens dieux et de leurs rites confinant à la superstition…

 

L’astrologie était donc mal acceptée par l’Église encore que… Sur ce sujet aussi bien des idées fausses circulent, même chez les personnes les plus savantes et les plus péremptoires. En effet on ne compte plus les représentations du zodiaque au moyen de sculptures ou de vitraux décorant les cathédrales de Strasbourg, d’Amiens, de Chartres, et beaucoup d’autres comme celle d’Autun ci-dessous :

 

 

Source : Autun Zodiac 4.JPG - Wikimedia Commons

 

Puisqu’on nous dit que l’on réfutait l’astrologie, s’agissait-il de simples marques du temps qui passe, ou des moments des moissons et des récoltes ? C’est ce qu'on lira parfois sous la plume de spécialistes qui recherchent une explication ne faisant appel qu’au rationnel, ce qui n’était pas le cas des artistes et des croyants de cette époque. Et il est clair qu’on est loin de cela quand on pense aussi aux représentations de Jésus au cœur du zodiaque. Ainsi, entre nombreux autres exemples :

 

 

Là, c’est bien une cohérence qui est exprimée entre l’ordre universel permis par tout un monde spirituel, symbolisé par les anges et les signes du zodiaque, et son expression dans notre monde physique au moyen de ce qu’on appelle « le Verbe » dans le langage judéo-chrétien. Logiquement, de nombreuses autres images en rapport avec le zodiaque se retrouvent au cœur de l’iconographie religieuse. Le lien est tout aussi clairement établi quand l’Église elle-même relie par exemple les quatre évangélistes aux quatre signes fixes du zodiaque :

 

 

Il en est ainsi également du « Tétramorphe », ce visage à quatre faces correspondant aux quatre signes du zodiaque et qui est celui des Chérubins dans les visions des prophètes de la Bible. On le voit, des notions complètement naturelles jadis est aujourd’hui perdu et même rejeté par ceux qui devraient logiquement les comprendre et les apprécier mieux que personne. Une autre page de ce site associe le christianisme et toute cette iconographie, et plus généralement le christianisme et de nombreux autres symboles qui le précédaient : cliquez ici. Or il y a certainement beaucoup à tirer du lien entre le parcours de Jésus et les symboles contenus dans le zodiaque, permettant d’évoluer et de s’élever comme cela est expliqué dans l’ouvrage déjà cité (gratuit et librement téléchargeable), « l’évangile selon le monde » : cliquez ici.

 

 

L'importance de l'astrologie sera reconnue également dans le monde médiéval érudit, passionné par la Kabbale ou par l’Alchimie. A cette époque, l'Eglise reconnaît toujours une certaine réalité de l'astrologie. Le théologien Albert le grand (1206-1280) par exemple, fortement influencé par l'œuvre d'Aristote et par celle de Denys l'Aréopagite, s'intéresse lui aussi à l'alchimie et à l'astrologie et reconnaît l'influence des astres, considérant qu'elle est l'instrument de la volonté divine mais que son libre arbitre permet à l'homme de rester maître de son destin. C'est exactement la position des astrologues modernes qui voient des influences, des potentialités... Son disciple, saint Thomas d'Aquin (1225-1274), Docteur de l'Église, révisant la position de saint Augustin, produira l'œuvre la plus explicite parmi les théologiens catholiques en ce qui concerne l'action des astres. Dans sa Somme, il écrit : "Les impressions que produisent les corps célestes peuvent s'étendre indirectement aux facultés intellectuelles et à la puissance volitive, de même que celles-ci demeurent sous l'influence des fonctions organiques." Mais il ajoute : "L'homme peut toujours agir, sous l'empire de la raison, contre l'inclination produite par les corps célestes." Moyennant ces précautions, même les souverains pontifes s'entouraient d'astrologues et s’adonnaient à cette science. À la Renaissance par exemple, Luc Gauric était l'un des plus célèbres astrologues papaux, avant d'entrer, comme Nostradamus, au service de la reine Catherine de Médicis.

 

Les religieux on l’a vu, mais les scientifiques également, n’ont pas toujours tenu le même discours sur l’astrologie. Avec les progrès de la science et le système de Copernic on comprend mieux la marche des planètes ; et davantage encore avec le fameux astronome allemand Johannes Kepler (1571-1630) qui découvre les lois qui régissent leurs mouvement, notamment grâce aux résultats de son prédécesseur Tycho-Brahe. Kepler fut aussi un grand astrologue, même s’il lutta contre l’astrologie de "bas-étage". En effet, pendant ses années d’études il tient son "Livre d’horoscopes" (eh oui), sorte de journal astrologique. En 1594, à Graz, il occupe un poste de professeur de mathématiques et d’astronomie, et publie le premier de quatre… almanachs astrologiques annuels. Il écrit enfin: "Vingt années d'études pratiques ont convaincu mon esprit rebelle de la réalité de l'Astrologie." Quant à Isaac Newton, il était particulièrement versé dans l’étude ésotérique de la Bible, cherchant toujours plus de signes de la cohérence entre l’ordre universel et la volonté divine.

 

Notamment à la lumière de ses découvertes, les progrès de l'astronomie ne finirent pas. On a découvert de nouvelles planètes, qui complètent le système astrologique des Anciens jusqu'à donner celui que l'on connaît aujourd'hui. On voit donc logiquement un regain d'intérêt pour l'Astrologie durant le XIXème siècle, en même temps qu'un souffle nouveau passe encore sur les Sciences. La découverte des forces, à commencer par la gravitation universelle, incitait à porter un regard nouveau sur notre perception du monde en général, et sur l'influence des planètes en particulier. En 1811, Goethe (1749-1832) n'hésite pas à proclamer sa foi en la science des astres; Balzac (1799-1850) écrit : "L'Astrologie est une science immense et qui a régné sur les plus grandes intelligences"... On retrouve le même phénomène au XXème siècle, après la découverte des rayons X, des ondes électromagnétiques, de la mécanique quantique et de la relativité d'Einstein ; autant de découvertes qui ébranlent les certitudes rationalistes de la science des siècles passés. Les découvertes à venir sur le multivers (de nombreuses dimensions occupées par des univers parallèles comme les imaginent des astrophysiciens actuellement), sur l’intrication quantique (qui relie des particules sans aucune limite de distance et anéantit donc certains arguments de prétendus scientifiques) ou sur la matière noire (qui occuperait une grande partie du vide à la façon de ce que les Anciens appelaient « l’éther ») donneront peut-être bien des explications scientifiques à ce qui ne paraît pas l’être pour certains…

 

 

 Astrologie, religion et spiritualité : vers une plus grande spiritualité

 

 

Malgré l’évolution des sciences, les principes de l'Astrologie ne sont pas mieux compris par certains critiques, qui s’arrêtent constamment à de vieux poncifs... et souvent erronnés. Or ce n’est pas en répétant à l’envi une chose fausse qu’elle devient vraie. Ainsi beaucoup ne semblent pas faire la différence entre causalité et synchronicité ; inutile de préciser combien c’est gênant quand cela provient de ceux d’entre eux qui se disent scientifiques. Or, pour les astrologues, ce n’est pas directement la position d’une planète qui produit tel ou tel effet, mais les forces qui expliquent l’une et l’autre à la fois. D’autres critiques encore font mine de faire croire que les astrologues ignorent la précession des équinoxes qui fait que les constellations et les figures du zodiaque ne correspondent plus… Or, sans parler de l’astrologie sidérale qui en tient compte à 100%, ce qu’ignorent ces sceptiques très mal renseignés, même en considérant seulement l’astrologie dite « tropicale » et plus répandue, à peu près tous les cours prodigués aux apprentis astrologues expliquent dès les premières leçons le partage de l’année en douze parts et en précisant ceci : ces parts du ciel, qui sont aussi des parts de l’année, sont seulement représentées par ces anciennes figures qui ont donné le zodiaque, et leurs valeurs symboliques sont celles qu’on avait attribuées aux constellations avant elles. Une autre façon de dire c’est que ce ne sont pas les constellations, quand signes et constellations correspondaient, qui ont donné la valeur symbolique des signes; ce sont les signes, ces partages en 12 de l’année, qui ont donné leur symbolique aux constellations, et en suivant les signes on suit toujours les mêmes symboliques qui étaient les leurs depuis toujours : ainsi le signe correspondant au Lion, quelle que soit la place de la constellation du même nom actuellement, correspond et correspondra toujours au coeur de l’été quand le Soleil est particulièrement dominant, le Capricorne correspond et correspondra toujours au moment où le Soleil, au plus bas, remonte comme une chèvre dans les hauteurs, et ainsi de suite.

En réalité, ce qu’ignorent royalement ces critiques peu pertinentes, tous les maîtres de l’Antiquité voyaient déjà en l’astrologie la science du symbole, et après eux les érudits du Moyen-Âge et les humanistes de la Renaissance. Pour tous ceux-ci cette science, qui est aussi un art, relie mieux que toute autre l’homme et son environnement, selon l’adage "tout ce qui est en bas est comme ce qui est en haut". C’est ainsi que se constitue un système liant symbolique et astronomie, riche langage dans lequel s'inscrivent les événements et les caractères de tout un chacun. Nous touchons ici à ce qui a été notamment l’objet des travaux du célèbre psychologue et penseur Carl Gustav Jung (1875-1961), à la limite entre la science, la métaphysique et la psychologie. Sa fille elle-même est devenue astrologue et Jung a notamment expliqué la valeur de l’astrologie dans un échange avec André Barbault (1921-2019) : "L’astrologie consiste en configurations symboliques comme l’inconscient collectif dont la psychologie s’occupe. L’horoscope semble correspondre à un certain moment de l’entretien mutuel des dieux, cela veut dire des archétypes psychiques". Et dans sa correspondance avec son maître Freud: "Mes soirées sont fort occupées par l’astrologie. Je calcule des horoscopes pour mettre la main sur le contenu de la vérité psychologique. (...) Je dois dire que l’on pourrait fort bien découvrir un jour dans l’astrologie un bon morceau de connaissance des voies de l’intuition qui s’est égaré au ciel" et "Laissez-moi, je vous prie, errer sans préoccupations dans ces infinités. Je ramènerai un riche butin pour la connaissance de l’âme humaine.". On doit à Jung et à ceux qui s’inscrivent dans son sillage l’astrologie conditionnaliste et la psycho-astrologie, qui permettent de dessiner des portraits d'une richesse et d'une précision étonnantes. L’astrologie se révèle finalement comme une façon exceptionnellement parlante de mieux se connaître, mais aussi de mieux se comprendre. C’est un outil de connaissance de soi par excellence, qui sert à prendre conscience de tout ce qui peut sommeiller en nous. Elle nous permet aussi d’évoluer sur un plan spirituel, de comprendre tout ce qui nous entoure, de comprendre les cycles de la vie, de comprendre son destin, consacrant par là-même les liens les plus solides et les plus naturels entre l'Homme et son univers...

 

Bien sûr il n’est pas exactement question de cela quand on ne fait que lire chaque matin un horoscope écrit pour les millions de natifs d’un même signe ; rien à voir avec la réflexion sur l’organisation du monde et du psychisme comme le faisait Jung, ni même avec l’étude personnalisée et détaillée de tout un thème natal. Inversement il faut être attentif à ne pas abuser des spécialistes qui fournissent un travail plus sérieux et détaillé, mais avec le risque de leur confier chacun de nos choix de vie, parfois de façon très coûteuse et sans garantie de pertinence. On a vu plus haut les critiques des autorités religieuses, et à qui on ne peut pas donner vraiment tort concernant ce type de consommation de l'astrologie qui peut confiner à une dépendance de type sectaire, ou bien rappelant les anciennes religions dont nous parlions et dont on s'est éloigné à raison, et où l’on conférait aux mages toute autorité sur des populations soumises. En revanche il y a certainement beaucoup à tirer de l’étude personnelle et réfléchie, notamment de l’origine des signes ou de la force des symboles comme on le fait dans sur cette autre page déjà citée (cliquez ici) et dans l’ouvrage (totalement gratuit et librement téléchargeable) qui la complète et qui relie vertus, images présentes dans la Bible, et symboles universels. 

 

 

En procédant de cette manière, il y a certainement bien plus à acquérir, à commencer par une certaine conscience d’un ordre dans l’univers, de la nécessité de vivre en harmonie avec les forces qui le gouvernent, qui nous entourent, qui nous influencent et qui nous aident. Tout cela témoigne sans aucun doute de la recherche d’une plus grande spiritualité et qui, d’après les mêmes liens que l’on trouve sur cette page, a beaucoup à voir avec la curiosité pour ce qui nous dépasse et qui régit l’univers ; et avec l’attitude consistant à vouloir s’élever. Plusieurs liens, ci-dessous, orientent d’ailleurs vers des idées de points de départ pour méditer, et un autre ouvrage (totalement gratuit également et librement téléchargeable), expliquant la méditation inspirée par le christianisme et par le bouddhisme, la relie d’ailleurs à ces principes et symboles universels détaillés dans l’ouvrage cité plus haut, tout cela pouvant s’inscrire, donc, dans un grand ensemble parfaitement organisé et cohérent. Et propre à rendre plus serein, à pacifier, à inspirer, à élever…

 

 

 

Autres pages pour aller plus loin sur ces sujets :

 


La page des prophéties

On ne soupçonne pas à quel point les prophéties les plus connues de la Bible ont été mal comprises, ou de façon très partielles : on sait l’annonce du Messie très présente dans les prophéties d’Isaïe par exemple, mais on n’imagine pas habituellement à quel point il était déjà annoncé à travers la vie et le message de Moïse et bien peu sauraient interpréter l’image du buisson ardent ou du serpent d’airain, qui ont pourtant une importance capitale dans son message et que l’on peut réellement comprendre. Quant aux prophéties de Daniel, d’Ezéchiel et l’Apocalypse selon saint Jean, elles annoncent de nombreux autres événements du monde, depuis la chute de Rome jusqu’à la Seconde Guerre Mondiale au-delà de tout ce que l’on pouvait imaginer. Sait-on par exemple que l’une de ces prophéties célèbres de la Bible évoque Adolf Hitler d’une manière difficilement contestable ? Qu’une autre annonce une grande puissance marquée par la couleur rouge qui viendra après lui, ce qui fut le cas en effet avec l'URSS lors de la Guerre Froide ? Sait-on qu’elle évoque ensuite une « grande forêt au sud » et qui brûle en permanence, en laquelle on reconnaît sans peine la forêt amazonienne de nos jours ? D’autres pages de ce site évoquent ces prophéties, leurs relations avec des notions et des réalités astrologiques méconnues et avec des symboles universels. Elles traitent aussi de la prophétie des Papes ou des messages donnés lors des apparitions mariales.
Cliquer ici

 

Prophéties, croyances et symboles universels

Les nombres dans la Bible et leur lien avec les prophéties les plus importantes, les constellations et les symboles universels apparaissant dans l’Ancien ou le Nouveau Testament, l’histoire méconnue de l’astrologie et ses liens avec les Textes Saints permettant une meilleure compréhension de ceux-ci.

Cliquer ici

 

 

Lieux étonnants et les éléments qui les relient, civilisations anciennes et Atlantide

 Des lieux orientés de façon curieusement similaires, des liens entre des sites séparés par des milliers de kilomètres, des cités gigantesques en partie en ruine ou englouties, des connaissances, des mythes et des symboles qui semblent universels et partagés par des civilisations extrêmement éloignées... Tout cela entre en résonnance avec ce que l’on pense savoir de la légendaire Atlantide. Sur des pages de ce site, la réalité sur la localisation de l’Atlantide, les liens entre les lieux des apparitions mariales de par le monde, l’orientation du monastère de Qumran ce qui n’avait pas été vu jusque-là, la géométrie de la Grande Pyramide avec des considérations inédites etc.

Cliquer ici

 

 

Les apparitions mariales

Des photographies de ces apparitions, leur signification, leur relation avec plusieurs religions et l’étonnant lien entre les lieux de ces apparitions de par le monde, ce qui n’avait jamais été vu jusqu’ici

Cliquer ici

 

Le carré SATOR

Le carré palindrome SATOR AREPO TENET OPERA ROTAS, célèbre et intriguant depuis l’Antiquité, décrypté et compris pour la première fois ainsi que sa relation avec les prophéties et symboles les plus universels

Cliquer ici

 

Liens entre les grandes religions

Proximités du christianisme avec le bouddhisme et l’islam

Cliquer ici

 

Le Jésus historique, textes, histoire et réalité du christianisme :

Le Jésus historique et la thèse mythiste, les prophéties et les symboles à l'origine du christianisme, pensées, belles phrases, belles images, oeuvres d'art...

Cliquer ici



 

Nouveauté :

 

Un oracle spirituel et astrologique en même temps, utilisable soit avec un livre seul, soit de façon gratuite sur un site où les cartes s’animent ce qui est inédit, soit en mêlant les deux méthodes. Cliquez ci-dessous :

 

 

 

 

Auteure du site : Marie Marin centuries@aol.com Tous droits réservés.Description : Description : Description : Description : Description : Description : Description : Description : https://www.legalis.net/icones/iddn/logo3.gif Mentions légales : lien