L’astrologie
est l’étude des astres et l’interprétation de leur position et de leur
mouvement dans le ciel. Elle date de la plus haute Antiquité puisqu’elle a
depuis toujours intéressé les hommes, curieux de deviner l’avenir, d’éclairer
leur destin, de comprendre plus généralement quel peut être leur lien avec les
lois qui régissent l’Univers et donc aussi bien les planètes que les phénomènes
naturels et que les êtres vivants.
C’est ainsi
que l’on peut rapprocher les études astronomiques et astrologiques depuis la
construction de ce qui semble bien être des sortes d’observatoires datant du
néolithique à Stonehenge mais aussi dans la Méditerranée comme à Malte, dans
les constructions des pyramides et leur alignement curieux avec des points du
ciel bien précis ; on a retrouvé des calendriers divinatoires chez les Egyptiens, les Chinois ou les Précolombiens… Et l’étude du
ciel et les horoscopes étaient particulièrement développée sur les rives du
Nil, où l’on reliait les crues au parcours de Sirius dans le ciel, et chez les
Mésopotamiens, les « Chaldéens » étaient des astronomes et
astrologues particulièrement renommés. C’est à la suite des Mésopotamiens puis
des Egyptiens que l’on a partagé le jour et la nuit
en 12 heures chacun, et c’est depuis l’Antiquité et ses préoccupations
astrologiques que l’on a introduit le partage de l’année en douze mois, en
douze signes donc en fait, puis les signes en 3 « décans », périodes
de 10 jours… C’est aux Chaldéens et plus généralement aux peuples de la
Mésopotamie que l’on doit aussi les noms des constellations du Zodiaque, avec
des noms chaldéens mais déjà les mêmes figures, animaux ou êtres hybrides, que
ceux que l’on connaît de nos jours.
La dénomination des
signes astrologiques, que l’on a conservée de nos jours, est inspirée de leur
nom ancien, quand ils se superposaient aux constellations qui portaient ces
noms. En fait ce sont plus exactement les constellations qui ont pris des noms
évoquant les signes et la symbolique qui leur était associée, du fait du
passage apparent du soleil dans ces constellations au fil de l’année. C’est ce
parcours qui était particulièrement suivi lorsque les planètes apparaissaient
ou disparaissaient à l’horizon, lorsque les agriculteurs s’inquiétaient du
climat, ou que l’on cherchait dans le ciel des présages annonciateurs
d’événements historiques. Les rois et les empereurs, en Europe, en Amérique et
en Chine, gouvernaient également en essayant d’inscrire leur action dans un système plus vaste qui s’exprime notamment à travers le parcours des planètes et autres
signes célestes.
Or c’est là que cela devient
étonnant : malgré les figures différentes que l’on a pu voir dans le ciel
selon les pays, on retrouve des points communs très forts dès les origines, dès
l’organisation des signes non pas d’abord en douze mais semble-t-il plutôt en
six doublés (comme dans l’astrologie hébraïque) voire en cinq doublés (une idée
ramenant à certaines configurations de cercles de pierres préhistoriques),
comme on peut le lire dans les lignes suivantes.
Des considérations qui ne
s’arrêtent pas là, car on peut voir que ces éléments primordiaux de
l’astrologie et de l’astronomie sont reliés au culte des géants, des héros, et
à de très nombreuses allusions présentes dans la Bible, ainsi qu’on peut le
voir ci-dessous :
L’astrologie : une organisation
des signes et des planètes beaucoup moins confuse qu’il n’y paraît. Tout sur
les liens entre les signes et les lieux, les animaux, les métiers qui s’y
rattachent : Une autre étrangeté de
l’astrologie est cette construction des douze signes dans laquelle on a vu une
répartition en signes masculins ou féminins, en signe de feu, de terre, d’air
et d’eau etc. Cependant pourquoi douze signes du Zodiaque et non pas 10,
24, 36 ou tout autre nombre? Cela est expliqué plus loin. On y verra que d’autres
considérations ont contribué à former ce système très complet mais parfois
confus, dans lequel les anciens ont aussi attribué la maîtrise des planètes du
système solaire sur les signes ; une maîtrise imparfaite et mouvante selon
le nombre de planètes découvertes : ainsi certains attribuent la maîtrise
de Pluton sur le Bélier, d’autres sur le Scorpion. De la même façon on voit
dans certains signes une image animale, dans d’autres une figure
anthropomorphe… Et pourtant on relie traditionnellement chaque signe à un ou
plusieurs animaux (par exemple le Sagittaire est logiquement relié au cheval,
mais à quels autres animaux ? Et qu’en est-il d’autres signes
anthropomorphes ? Et selon quelle logique ?) et chaque signe est
aussi relié à un ou plusieurs lieux (par exemple les Gémeaux à l’Egypte et le Taureau à la Turquie : pourquoi et selon
quelle logique ?), et enfin à un ou plusieurs métiers (là aussi, on
comprendrait le sens reliant tel signe à telle activité humaine mais selon quel
sens, quelle organisation plus générale ?). Or on peut se rendre
compte que tout cela est, en réalité, organisé d’une façon bien plus claire. Le
partage en douze provient de considérations de symétrie et est lié à des
propriétés mathématiques très simples des nombres ; d’une façon très
troublante mais indéniable, ces considérations rejoignent en même temps des
réalités astronomiques reliant les cycles du Soleil, de la Lune et de Jupiter
qui sont notées ci-dessous. L’attribution des maîtrises des planètes, quant à
elle, semble suivre les mêmes types de combinaisons et la même logique. Et
enfin on peut se rendre compte que la représentation des signes du zodiaque
n’est pas aussi irrégulière et baroque qu’il n’y paraît : en fait chaque
signe est lié à un type de lieu, à un type d’animal, et à un type de figure
humaine ainsi que cela est expliqué, entre autre nombreuses choses, dans les
lignes suivantes. Quelques images extraites de ces pages :
Mieux comprendre les sources de l'astrologie permet aussi de mieux apprécier cette science,
qui connaît un grand regain d'intérêt, notamment de la part des jeunes générations. C'est aussi mieux comprendre et mieux apprécier
la grande portée spirituelle de l'astrologie. On peut en lire davantage en cliquant sur ce lien.
Ces éléments montrent des relations insoupçonnées entre : Les symboles universels, les mythes plus anciens ayant influencé le christianisme et qu'on ignore souvent, voire même les lieux des différentes
apparitions mariales, l’orientation du monastère de
Qumran, ce qui n’avait pas été vu jusque-là, la géométrie de la Grande
Pyramide avec des considérations inédites, de nombreux autres symboles
tels que le célèbre « carré SATOR », célèbre mais qui n’avait pas été compris jusque-là : On peut y voir
également un lien insoupçonné jusqu’alors avec un motif utilisé par les Templiers : voir
aussi cette page qui leur est consacrée. Ces considérations
finissent par relier d’un côté des croyances très anciennes
touchant aux symboles et aux mythes, et de l’autre côté la science
la plus moderne, selon une façon assez proche de la pensée du Père François
Brune. À la lecture de ces lignes, difficile de ne pas y voir quel message universel se
dégage, si important de nos jours. Il semble puiser dans des signes visibles
par tous de par le monde, des mythes et symboles qu’on retrouve dans plusieurs
religions et qui les relient entre elles et avec le christianisme. Ces messages
universels sont difficiles à ignorer à notre époque, et inspirent le monde de ceux qui croient,
tel qu’il est ou pourrait être aujourd’hui. Autres pages pour aller plus loin sur
ces sujets :